2013/02/17 - Méditation personnelle - POLLUTION SONORE !

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En ayant égard à la tranquillité légitimement espérée de l'espace sonore, le présent constat porte sur les nuisances sonores, engendrées par une mauvaise adhésion de la partie supérieure à la partie inférieure  des objets délibérément posés sur la surface de la chaussée et d'autres parties plus ou moins planes destinées au trafic  automobile ou  pédestre sans exclure la glisse, qui furent à maintes reprises actées par les appareils auditifs fixés sur les parties supérieures  du corps de l'espèce humaine appelées oreilles, dont la partie extérieure sert essentiellement à capter  des vibrations  de l'air avant que celles-ci ne soient transformées à l'aide de la partie intérieure en ce que l'on désigne sous le nom de vibration sonore identifiée alors comme pollution du même nom, étant une réalité pourtant évitable, alors qu'avec regret le constat de la non suppression  comme attitude permanente est fréquemment réitérable, ce qui ne peut pas empêcher la pensée humaine à peu près normalement constituée de vaquer à ses occupations les plus nobles quelles qu'elles soient et à cette occasion de faire le constat accablant tout aussi au sujet de la partie haute des objets source apparemment premier de ladite pollution que  de la partie basse, alors que celle-ci étant parfaitement stable car faisant partie d'un ouvrage encastré dans son environnement extérieur de façon horizontalement immobile et donc verticalement tranquille  n'étant qu'un support indispensable à la partie supérieure couvrant l'ouvrage encastré  dans le sous-sol, mais par la-même, à l'occasion de la dite mauvaise adhésion avec la partie supérieure, à moins que ce soit l'inverse, toujours est-il en partie plus ou moins inégalement partagée, elle demeure cependant responsable de cet état de fait qui aurait pu uniquement accabler la partie mobile, pour  arriver à la conclusion suivante à savoir que ce n'est pas forcement la partie qui bouge qui est la seule responsable d'un tel faux pas sonore, d'autant plus qu'à y regarder de près on pourrait aussi se poser la question sur la qualité de la partie scellée, à moins que tout ceci ne soit que question d'un bon joint qui amortirait le contact violent de deux parties métalliques pour  en réduire à zéro les méfaits de leur contact précédemment décrit et tout compte fait complètement inutile, ce qui cependant ne  finirait pas de poser de problèmes   quant à la qualité des joints non pas inusables à souhait, mais surtout rendant au besoin l'enlèvement des couvercles aisé et c'est ce qui a semble-t-il prévalu dans le choix de la non ingérence dans les affaires sonores qui au moment de la première pose sonne si bien car accompagnée du constat d'une bonne adéquation entre la forme plane du couvercle et le cadre dans lequel il se laisse loger avec effet sonore, comme quoi l'on ne peut pas tout avoir, mais c'est déjà pas si mal tant que cela n'excède pas ni les oreilles ni les nerfs qui les tiennent parfois à bout de bras.