2020/03/21 - Méditation personnelle - Au fil de la poésie
La nature dégouline en coulage solidifié de ses branches racines dans ce laisser aller qui est un laisser dompter pour être un laisser passer pour aller au delà des endroits dans lesquelles on voulant la faire passer par les encolures des harnais de la civilisation citadine que l'urbanisme moderne impose aux arbres qui s'accrochent aux parois des murs de soutien des escarpements à Hong Kong ou ailleurs, où la nature a enlacé affectueusement les vestiges de tant de temples d'Angkor pour les garder à elle, elle qui recycle tout ce qu'elle peut absorber, et elle peut beaucoup jusqu'à se régénérer en sacrifiant une partie d'elle pour que ce qui doit survivre se nourrisse de ce qui doit mourir.