2013/03/04 - Méditation personnelle - MACAO
L'arbre, poilu
A la barbe
De ses branches,
Habite chez
Mateo Ricci qui
Tient sur ses hanches
Il demeure imperturbable
A l'ombre des souvenirs
Qui ne cessent de s'unir
A la modernité des écoliers
Et des scholars de l'Institut
Les Portugais y ont posé leurs marques
Les Chinois ne sont pas en reste
Car chez eux depuis plus longtemps
Et pour le moment, recollant les morceaux