2013/05/30 - Méditation personnelle - BIENVEILLANTES, cf. p.1228
Jeu de la treizième heure,
Comme le treizième mois,
C’est inutile pour celui
Qui ne cherche plus à avoir
Ni à accumuler des honneurs
Tout est perdu et rien à retrouver
Juste du temps perdu qui perdure
Dans le jeu macabre
De la treizième heure.